Troubles psychiques : modification de l’humeur, irritabilité, indécision, anxiété, intolérance au stress, baisse de concentration, perte de mémoire à court terme, déclin intellectuel, dépression (avec ou sans tendances suicidaires)
Troubles neurologiques : Alzheimer, sclérose en plaque, sclérose latérale amyotrophique, Parkinson
Troubles immunologiques : infections diverses et répétées, fièvres rhumatismales, polyarthrite rhumatoïde, zona, nodules lymphatiques, leucémie
Allergies : sinusites et rhinites chroniques, rhume des foins, urticaire, eczéma, dermatoses, psoriasis
Tremor : tics du visage (paupières) et autres muscles
Troubles audio-visuels : champ visuel rétréci, assombri, glaucome, acouphènes (sifflement des oreilles), hypersensibilité à la lumière et aux bruits, vertiges ;
Troubles hormonaux : thyroïde, thymus, surrénales, pancréas (hyper- et hypoglycémie, diabète)
Troubles gastro-intestinaux : diarrhées ou constipation, météorisme, prise de poids, perte d’appétit, diverticulite, maladie de Crohn
Troubles du sommeil : insomnie, hypersomnie
Troubles rénaux : cystite, pollakiurie nocturne
Troubles respiratoires : asthme bronchique
Troubles de la sensibilité : froid aux pieds et mains, perte de sensibilité aux extrémités, fourmillements, gonflement
Chez les enfants : hyperactivité, retards neuropsychique, autisme. Une exposition du fœtus, même si ce dernier est dans l’utérus, au mercure peut entrainer des troubles neurologiques du développement de l’enfant.
Toutes ces pathologies n’ont pas que le mercure pour origine, mais si l’origine de l’un ou l’autre de ces divers symptômes ne peut pas être déterminée, alors oui, il peut s’agir d’une intoxication au mercure Dans la réalité, on estime que seuls 15 à 20% des gens ont des problèmes plus ou moins sérieux. 80% d’entre nous, bien qu’intoxiquées aussi, ne réagissent que peu ou pas du tout à cette agression.
Ces phénomènes ont cependant tendance à s’affirmer avec l’âge