En 1946, environ 100 enfants de 5-6 ans y avaient passé les examens dentaires habituels. On relevait alors 0,25 dents cariée, manquante ou soignée par enfant et 82% d’enfants indemnes de carie. Puis on commença à fluorer les dents. Cinq ans plus tard, les chiffres étaient respectivement de 0,67 et de 45% d’enfants indemnes de carie. En fait, le nombre de caries avait doublé avec la fluoration !
Après une série d'articles de la même trempe, la profession imposa l'idée de la fluorisation systématique ! La fluorisation de l’eau et des dents de nos enfants fait suite à une désinformation ...
Or, on connaissait en Europe depuis longtemps les risques du fluor, qui a doses importantes induisait (chez le bétail) la "fluorose" : une nécrose des maxillaires !
Chez l'homme, des doses - même faibles - peuvent induire une fluorose dentaire. L’Afssaps a modifié en décembre 2008 ses recommandations sur la prescription fluorée, et la déconseille à présent avant l'âge de 6 mois.
De plus, le fluor – à dose massive, qui est un halogène comme l’iode, prend sa place dans la thyroïde, induisant une hypo ou une dysthyroïdie chronique (objectivable aux examens isotopiques), dont les symptômes classiques sont les troubles de l’humeur et la fatigabilité.
Donc, bannir les « dentifrices au fluor » chargé de 125 à 250 ppm de fluorure de sodium (c'est à dire presque tous – même celui "homéopathique" du laboratoire Boiron !) et les remplacer par exemple par les pâtes dentifrices Weleda (au calendula, ratanhia ou saline).
Les homéopathes utilisent aussi le fluor, mais sous forme de fluorure de calcium et à des doses ne dépassant pas 1 ppm (cf. sels de Schüssler) Même les "sites officiels" sont à présents prudents sur le fluor.